Comment bien choisir son collier ?

Comment bien choisir son collier ?

Le collier est un accessoire plein d’élégance et intemporel, qui se doit d’être adapté à celle qui le porte. Au-delà des questions de goût individuel, il y a certaines règles qu’il vaut mieux respecter pour éviter les fameux fashion faux pas ! Étant donné l’incroyable diversité des colliers, nous allons nous concentrer sur quelques critères de sélection, en fonction de sa morphologie dans un premier temps, puis selon la tenue que l’on porte. Que l’on soit fine ou que l’on ait de belles formes, qu’on aille à une soirée ou juste pour une sortie shopping, vous allez savoir très bientôt quel réflexe mode adopter quant au choix du collier à sortir pour se rendre belle dans tous les cas, en toute quiétude.

Comprendre sa morphologie

Par soucis de clarté et de compréhension, nous proposons de reprendre une catégorisation simple de la silhouette d’une femme, selon une forme géométrique : carrée et fermement ancrée sur ses jambes, ronde et généreuse, en sablier à la taille fine, en triangle avec l’accent mis sur les hanches ou bien sur le buste. Il faut regarder jauger son propre cou pour commencer à choisir son collier pour femme : comment est-il ? Il peut être court, ou bien fin et long. C’est assez simple de s’y retrouver. Prenons un exemple : une femme de taille modeste, avec un cou assez fin. Retenez bien votre propre critère, avant de passer à la suite.

Les différents types de collier

Le ras-du-cou est le plus court et entoure directement la nuque. Il peut être agrémenté d’un petit bijou en tant que pendentif ou inséré directement dans le collier. Le type dit princesse est un peu plus long, tout en étant le plus fréquent ce qui en fait une valeur sûre. Ensuite, il y a le collier matinée, qui inaugure la série des colliers qui tombent vers la poitrine. Quant à l’opéra (ou sautoir) qui est aussi assez connu, car bijou fétiche de la célèbre Coco Chanel, il tombe encore un peu plus vers le ventre. Pour finir, le collier long ou rope, qui signifie corde en anglais, est très reconnaissable : c’est celui porté il y a exactement un siècle de cela, pendant les Années Folles (1920). Maintenant, il faut revenir à la morphologie de son cou. La règle est toute simple : les colliers les plus serrés autour du cou devraient être réservés aux cous les plus fins, sous peine d’avoir un effet boudin des plus disgracieux, n’est-ce pas ? En suivant la logique inverse, les colliers les plus longs peuvent être très avantageux pour mettre en valeur les physiques plus ronds. Il existe cependant quelques cas particuliers, sans oublier qu’il faut se faire confiance et se sentir bien avec ce qui nous fait envie.

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Les métaux disponibles

Désormais, vous savez quel type de collier adopter en fonction de vos caractéristiques physiques générales. Il reste à présent à entrer du côté des choix esthétiques et cela commence par la matière même du collier. L’or est un symbole solaire, matière noble par excellence et qui traverse les âges sans prendre une ride. Tout le monde peut en porter, bien que cela puisse particulièrement être avantageux pour une peau et des cheveux plutôt sombres, par contraste. Ici encore par logique miroir, l’or blanc est une matière beaucoup plus froide dans ses tons, ce qui correspond davantage à une carnation et une chevelure claires. Il va de même pour ce qui est en argent, car c’est assez semblable à l’or blanc.

Un pendentif ?

Et pourquoi ne pas ajouter un petit pendentif à son collier, toujours en veillant à ne pas alourdir sa silhouette en voulant en faire de trop pour être belle. N’oublions pas que less is beautiful (le moins est beau) est une maxime qui a souvent été à la mode, bien que les goûts sont aussi divers que variés. Par exemple, avec un ras-le-cou, il semble risqué d’y ajouter un pendentif… On peut vite y associer l’image mentale d’un animal avec son collier et son adresse autour du cou ! Mieux vaut s’abstenir ou chercher encore un autre pendentif plus adapté au collier que l’on veut absolument porter.

Bien choisir la maille qu’il faut

Il faut se souvenir qu’il n’y a pas que des colliers lisses à porter, ou qu’il y a de nombreuses mailles possibles dont chacune porte un nom pour une utilité précise : forçat, gourmette, vénitien, boule et jaseron. Prenons l’exemple passe-partout du jaseron, qui est on ne peut plus classique et composé de simples anneaux ronds et ovales. On peut tout en faire, quelle que soit la matière. Ce n’est par contre pas le cas de la gourmette, plutôt aérienne dans sa conception, qui s’adapte très bien à celles qui veulent un poids léger autour du cou, mais il serait risqué de l’accompagner d’un lourd pendentif au risque de paraître au mieux déséquilibrée dans sa tenue.

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